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🔹Communiqué de presse 🔹
Ce mercredi 19 janvier 2022, les groupes politiques OLLN 2.0 – MR, Avenir (cdH) et PS du conseil communal d’Ottignies-Louvain-la-Neuve ont conclu un nouvel accord de majorité, mettant fin à la coalition actuelle.

Plus d’info suivront…

Le groupe OLLN 2.0-MR a appris, par voie de presse, la délivrance du permis pour l’exploitation, en hôtel de luxe, du château de Limelette. Il a également pris connaissance de la position du président du Conseil communal, Cédric du Monceau, se distanciant ouvertement et critiquant vertement la position du collège communal dans ce dossier.

« Nous prenons acte de ce désaccord au sein de la majorité ottintoise, qui semble de moins en moins forte que la durée de leur coalition est longue », indique Nicolas Van der Maren, …


Il ne fait pas bon dormir à Louvain-la-Neuve.

Sous la pression des riverains du Parc de la Source à Louvain-la-Neuve, la Bourgmestre a finalement constaté, le vendredi 27 août, qu’il y avait des débordements en termes de nuisances sonores, de consommation d’alcool, de sécurité, de propreté et de tranquillité publiques causés par des rassemblements informels et importants de […]


Le groupe OLLN 2.0-MR n’a eu de cesse de dénoncer la dérive fiscale dans laquelle le majorité (Ecolo-Avenir-PS) s’est engouffrée afin de combler le trou budgétaire qu’elle avait elle-même creusé ces 20 dernières années.

Nous aurions accepté une augmentation des taxes et impôts communaux pour financer de nouveaux services ou, à tout le moins, pour améliorer les services existants mais pas pour pallier une mauvaise gestion financière des deniers publics. Aussi, nous demandions au Collège communal de revoir la structure même de ses dépenses avant d’augmenter, unilatéralement, ses recettes sur le dos des citoyens… en vain !

Outre l’augmentation des centimes additionnels à l’impôt des personnes physiques, c’est une augmentation des centimes additionnels au précompte immobilier qui est venu frapper les Ottintois (sans compter la révision des revenus cadastraux, à la base de cet impôt, encore une initiative de la commune).

Ces augmentations sont d’autant plus mal venues qu’elles interviennent au moment même où de nombreuses personnes ont, plus que jamais, besoin d’un soutien pour faire face à la crise économique sans précédent qui accompagne la situation sanitaire inédite. C’est que l’augmentation du précompte immobilier de nombreux commerçants s’élève à plus de 10% en une seule année, comme le dénoncent maintenant de nombreux commerçants de notre entité.

En effet, les exemples mis en exergue par les commerçants de La Dalle de Louvain-la-Neuve parlent d’eux-mêmes:

Si nous trouvons normal que les commerçants établis à Ottignies-Louvain-la-Neuve contribuent au développement de la Ville, nous regrettons néanmoins que cette augmentation de la taxe intervienne l’année même où nombre d’entre eux ont été fermés (et le sont toujours en ce début d’année 2021).

Le Groupe OLLN 2.0-MR exhorte le Collège communal de revoir sa copie, notamment dans son approche fiscale à l’égard de nos commerçants, parce qu’ils en ont grandement besoin. Ne pourrait-on  pas, dans l’immédiat, les rembourser de l’augmentation via une prime exceptionnelle « COVID », en attendant d’aboutir avec des mesures plus structurelles ?

C’est le titre de l’article paru dans l’Avenir de ce 23 septembre. On y lit un plaidoyer des sections Ecolo d’Ottignies-Louvain-la-Neuve et de Wavre pour plus de mobilité concertée entre les deux villes qui constituent un « pôle majeur » du Brabant wallon… L’accès aux infrastructures culturelles, sportives mais aussi médicales (vu le déménagement prochain de l’hôpital Saint Pierre d’Ottignies à Wavre) doit être facilité grâce à une mobilité réfléchie et concertée.

C’est agréablement surpris, pour ne pas dire « non sans une certaine émotion », que la section MR d’Ottignies-LLN (dans l’opposition à Ottignies-LLN) a pris connaissance de ce positionnement des écologistes. « Nos élus OLLN.0-MR ont souvent regretté que le majorité ottintoise avance tête baissée, de son côté, sans suffisamment tenir compte des réalités du territoire interconnecté avec Wavre mais aussi avec Court-Saint-Etienne, alors que nous plaidons de notre côté pour plus de supracommunalité dans différentes matières dont la mobilité mais aussi l’aménagement du territoire » rappellent Nicolas Van der Maren, chef de file OLLN 2.0-MR et Denis Vandenbergen, Président de la locale MR d’Ottignies-LLN. […]


L’écologie est un domaine de réflexion vaste qui prend en compte à la fois les problèmes de l’homme, mais aussi les dégâts occasionnés par celui-ci sur son environnement.

Parce qu’au delà de nos couleurs et mandats politiques, nous sommes avant tout des citoyens soucieux de préserver notre planète pour les générations à venir, nous sommes heureux de vous annoncer que notre motion « zéro plastique » proposée par nos Conseillers communaux Nicolas Van der Maren et Cédric Jacquet, a été adoptée majoritairement (à l’exception de Kayoux qui s’est abstenu) par le Conseil communal du 26 février 2019.

Concrètement, cette proposition se compose de deux éléments:

Interdire le recours au plastique à usage unique au sein de l’administration communale (gobelets, pailles, couverts, etc.)
Mettre en place cette option dans tout marché public entrepris par la ville afin de limiter l’utilisation du plastique.

Texte de la motion déposée
Communiqué de presse

En décembre 2018, Bénédicte Kaisin, cheffe de file du Groupe OLLN 2.0-MR depuis 2013, a fait le choix de passer la main. Réélue avec le magnifique score de 1600 voix, elle a décidé de mettre en place dès à présent, une équipe qui préparera les élections de 2024.

Depuis deux mois, tout conseiller communal qui le souhaitait, avait la possibilité de poser sa candidature et de présenter une feuille de route. Celle-ci devait définir la ligne de conduite du groupe. La date limite était fixée ce 19 février afin que les membres désignent leur nouveau leader.

C’est ainsi que le Groupe OLLN 2.0-MR a désigné Nicolas Van der Maren, conseiller communal depuis 2012, en tant que «chef de groupe».

Cette réunion a permis aux élus OLLN 2.0-MR de remercier chaleureusement Bénédicte Kaisin pour son engagement au cours de ces 6 dernières années et en particulier d’avoir mené la liste lors des élections communales d’octobre 2018. Bénédicte Kaisin demeure pleinement engagée au sein du groupe OLLN 2.0-MR et en en particulier au sein du conseil communal.

Et c’est avec ses encouragements et félicitations ainsi que ceux des autres élus OLLN 2.0-MR que Nicolas Van der Maren a repris le flambeau.

Le challenge est de taille pour Nicolas et le groupe OLLN 2.0-MR : rentrer dans une majorité en 2024. Pour cela, il faudra reconquérir l’électeur et considérer les changements dans les attentes de la population… « Il ne faut jamais partir du principe que tout est acquis, que nous sommes les plus forts », explique Nicolas Van der Maren. « Nous devons développer une opposition forte et constructive, une opposition assertive et ouverte ! Plus encore que par le passé nous voulons incarner une force de proposition ».

La section MR d’Ottignies-Louvain-la-Neuve soutient cette désignation avec enthousiasme : « Je suis très confiant pour l’avenir, Nicolas a le profil qu’il nous fallait et je suis convaincu que nous pourrons collaborer en bonne intelligence pour faire face aux défis qui sont les nôtres » précise Denis Vandenbergen, Président de la section MR ottintoise.

 

Ce 22 janvier dernier, la Bourgmestre Chantry a présenté la déclaration de politique communale de la majorité (Ecolo-Avenir/CDH-PS) pour les 6 années à venir. Le Groupe OLLN 2.0, par la biais de Nicolas Van der Maren, a réagi de façon très nuancée.

 

D’une part, notre groupe soutient globalement les « 3 idées de forces transversales », à savoir (i) la qualité de vie de tous les habitants, (ii) la transition écologique et (iii) la participation citoyenne, dès lors que nous retrouvions ces éléments de transversalité dans notre programme également.

 

D’autre part, si nous trouvons positif que certaines thématiques soient qualifiées de primordiales par la majorité, nous regrettons le manque d’ambition notamment en matière de politiques du logement, de la mobilité et de la culture. Plus encore, nous avons dénoncé que certaines thématiques comme le développement économique, l’emploi et la sécurité étaient totalement absentes de la déclaration de politique communale alors qu’Ottignies-LLN est pour ainsi dire la seule commune du Brabant wallon où le chômage augmente alors qu’il est diminution au niveau de la province !

 

Finalement, nous avons pris note de l’aveu de faiblesse de majorité quant aux finances communales et craignons une augmentation de la fiscalité à court ou moyen terme au sein de notre commune.

 

En gage d’opposition constructive et dans l’attente du Plan Stratégique Transversal (PST) qui complètera, voire améliorera, cette déclaration de politique communale, le groupe OLLN 2.0 a voté « abstention ».

 

Pour consulter le texte de complet de l’intervention de Nicolas Van der Maren au nom du groupe OLLN 2.0-MR, cliquez ici

 

Notre cheffe de file et tête de liste a été interviewée par le Soir concernant la situation politique locale à Ottignies-LLN et fédérale.
Elle n’a pas manqué de rappeler l’accord pré électoral Ecolo-Avenir (cdH)-PS qui truste le pouvoir depuis 18ans et tente encore une rente de 6 ans. Sans projet commun, sans liste commune et avec un bilan commun que visiblement ils ne défendent qu’à demi mots… N’hésitez pas à rappeler cet accord auprès de vos amis, voisins et connaissances pour que cette fois, nous n’entendions plus « Ah, il y avait un accord ? Je n’étais pas au courant… »!

Retrouvez l’article sur le site du Soir (article disponible moyennant paiement pour consultation)

 

Ce n’est plus un grand écart mais c’est du contorsionnisme que nous fait Ecolo-OLLN. Ils ne savent tellement plus comment se sortir de leur double discours au sujet de l’extension de L’esplanade qu’ils en sont réduits à ressortir de vieilles recettes éculées. Le 20ème siècle est pourtant passé…..

Nous tenons à mettre les faits au centre du débat, là où Ecolo tente de noyer le poisson :
Ecolo affirme être pour la consultation populaire depuis le début
Certains membres d’Ecolo, et d’autres partis de la majorité, se sont positionnés pour une consultation populaire. Le Collège n’a jamais suivi.

S’ils voulaient consulter la population sur ce projet, pourquoi ne l’ont-ils pas fait ?

Cédric Jacquet, conseiller communal, explique :  » Voyant le délai légal approcher, nous avons pris nos responsabilités en convoquant un Conseil communal extraordinaire pour forcer la majorité à mettre fin à son double discours. Nous avons poussé pour une consultation populaire, que nous avons obtenue ! »

Et de poursuivre « Soutenir, la main sur le cœur, un projet qui leur a été imposé est un peu facile. Chez Ecolo, la démocratie participative on en parle beaucoup. Au MR, on la met en œuvre ! Comme souvent, ce sont ceux qui en parlent le plus qui en font le moins. »

« Nous tenons toutefois à saluer le travail constructif et collégial du comité de pilotage, présidé efficacement par Michel Beaussart, composé de membres de la majorité et de notre groupe afin de préparer cette consultation. »

Enfin, concernant l’organisation de la consultation, Nancy Schroeders, Conseillère communale, précise : « Si nous partageons la volonté de la « plateforme citoyenne » d’organiser une consultation, nous visons l’intérêt général et non un agenda « politique », tout respectable soit-il.  Nous souhaitons entendre l’avis de la population en toute neutralité et pensons que laisser la possibilité au citoyen d’argumenter sa position est un plus pour la démocratie participative. »

Le permis socio-économique pouvait-il être refusé ?

Dans l’absolu, la réponse est non. Et il est vrai que la Ville, une fois la demande déposée a 60 jours pour y répondre. Là-dessus Ecolo a raison. MAIS …

Pour Bénédicte Kaisin, chef de file du groupe OLLN 2.0, « En 2014le collège était informé de la demande avant son dépôt. Elle aurait pu soit prendre le taureau par les cornes (on peut rêver…) et demander des avis ou commander une étude d’incidences approfondie, soit demander au promoteur de ne pas le déposer en juin, juste avant les vacances d’été, afin d’avoir plus de temps pour consulter la population. La Ville aurait aussi pu conditionner son accord à certaines mesures ou exigences, même si ceci ne peut se trouver en l’état dans la décision. Négocier avec un promoteur se fait dans presque tous les projets, pourquoi pas dans celui-ci ? 

« En donnant cette première autorisation, le Collège a donné le feu vert au promoteur qui pouvait dès lors investir dans toutes les études et projets, y compris le dossier de construction et il est évident, qu’ainsi, il s’est engagé auprès de lui à aller jusqu’au bout de son projet »

Autre point, la Ville n’a jamais demandé l’avis du  Comité socio économique national alors que ceci est prévu par le décret. Pourquoi ? Et pourquoi cette précipitation à accorder le permis ? Mystère…

Le Schéma de Structure Communal (SSC) établi par une majorité avec le MR autorise l’extension

Julien Tigel-Pourtois, Conseiller communal, précise : « Le Schéma de Structure de l’époque prévoyait en effet à cet endroit une zone d’activité commerciale et de services. Ceci veut donc dire qu’une extension à vocation commerciale est possible mais n’est pas la seule possibilité.

Et Nicolas Van Der Maren, Conseiller communal, de rajouter : « Ce n’est pas non plus parce que le SSC permet ce genre d’activités qu’un projet doit y être accepté de facto, sans discuter. »

Denis Vandenbergen, président de section, de conclure: « Nous ne souhaitons pas de polémique stérile. Mais nous voulons que chacun assume ses décisions ou prises de positions et soit conséquent avec celles-ci. Nous souhaitons avoir l’avis de nos concitoyens et ne pas influencer le résultat. Je confirme ici que notre groupe ne s’est jamais positionné officiellement en faveur de ce projet. Par contre, nous ne sommes effectivement pas contre un projet à cet endroit, tenant compte de l’avis et des besoins de nos concitoyens. »

Le 3 février dernier, les trois partis de la majorité actuelle (ECOLO/AVENIR-CDH et PS) ont annoncé, pour la 4ème mandature consécutive la reconduction de leur « alliance citoyenne ». De notre côté, nous n’avons pas encore formellement réagi. Nous le faisons ce soir en ne participant pas au Conseil communal.

Si nous admettons que le système de la représentation proportionnelle permette des majorités alternatives à celle constituée par le parti le plus plébiscité, nous estimons par contre, qu’en reconduisant leur alliance avec 3 listes (et donc avec 93 candidats) et 3 programmes différents et en excluant d’office le parti le plus important (31 candidats) : c’est tout simplement scandaleux.

En agissant de la sorte (pour la 4ème fois !), ECOLO/CDH/PS détournent le système à leur avantage personnel sans avoir égard, ni à l’avis des citoyens qui n’ont pas encore pu exprimer leur vote, ni au projet de ville qu’ils ne sont pas parvenus à préparer ensemble.

En fait, le modèle prôné par la majorité, c’est un modèle sans débat démocratique, sans respect ni de l’opposition, ni des citoyens ayant voté pour ce parti relégué sans cesse dans l’opposition malgré son meilleur score électoral (34,1% en 2012).

Et c’est plutôt symptomatique de la majorité en place puisque depuis 2000, elle se croit toute puissante et elle impose ses vues en rejetant généralement les arguments développés par l’opposition, en osant déclarer malgré tout « que les politiques arrêtent de se croire au-dessus des citoyens ». Il faut un fameux toupet quand même, avouez !

Vous qui assistez ou suivez dans la presse les Conseils communaux, savez-vous que notre groupe OLLN2.0 vote favorablement plus de 90 % des points mis à l’ordre du jour par le Collège communal ?

Concernant les points qui ne font pas l’unanimité dans notre groupe, nous les débattons et parfois, aux termes du débat, nous votons contre, pour ou nous nous abstenons. Souvent le vote est libre dans nos rangs (ce qui n’arrive jamais ou quasiment jamais dans les rangs de la majorité). Nous ne nous opposons jamais sans disposer d’un dossier; nous développons toujours une argumentation forte, souvent nuancée. Et parfois même, nous sentons que nous convainquons certains membres du Collège ou de la majorité, même si au moment du vote, celle-ci préfère ignorer ces arguments et passer le dossier en force (vote majorité contre opposition)

L’opposition constitue le contre-pouvoir garant de notre démocratie et une opposition constructive doit pouvoir soutenir les « bons » projets du Collège mais aussi dénoncer les dérapages et, le cas échéant, formuler des propositions alternatives au Conseil, ce que nous faisons. Quand Madame Chantry justifie l’accord préélectoral par l’attitude agressive de l’opposition, elle ne fait que détourner l’attention du véritable enjeu qui est la course au mayorat dans une majorité sans concurrence.

La réalité, c’est que les ECOLOS sont au pouvoir sans discontinuer depuis 1989 (et ont le mayorat depuis 2000) en n’ayant jamais été le premier parti de la ville !

Par leur coalition répétée depuis 18 ans, ils sont largement majoritaires au sein du Collège et ne supportent plus la moindre contradiction, même émanant de l’opposition dont c’est pourtant le rôle indispensable dans un Etat démocratique !

Pour ECOLO cette tripartite est l’alliance idéale, « l’autorité assise » comme pour la magistrature et ils espèrent que cela va durer encore longtemps.

Ce n’est pas notre conception de la démocratie et nous serons toujours présents pour faire barrage à ces petits arrangements et offrir une vraie alternative aux électeurs.

A l’annonce du 4ème renouvellement de la coalition ECOLO/CDH/PS nous aurions pu nous décourager puisque toutes les fois précédentes, malgré notre première position aux élections avec le plus grand nombre de sièges gagnés, nous avons systématiquement été  envoyés dans l’opposition, mais il n’en est rien. Aussi ce soir, nous avons voulu vous montrer en 4D à quoi ressemblerait le conseil communal sans opposition rêvé par ces 3 partis d’une alliance citoyenne qui n’a de citoyen que le nom !

Avez-vous trouvé le débat intéressant ?

Et qu’on ne s’y trompe pas, peut-être va-t-on nous accuser d’avoir fui le débat sur les visites domiciliaires. Nous avons déjà dénoncé qu’aucun dossier avec pièces justificatives (projet de loi critiqué, analyse par le Collège dudit projet, arrêt du Conseil d’Etat…)  n’avait été mis à la disposition des conseillers dans le délai légal et nous avons demandé expressément que ce point soit reporté au prochain Conseil communal afin de pouvoir réagir en connaissance de cause.

Le maintien de ce point à l’ordre du jour du Conseil de ce soir n’a pour objectif que de surfer sur une communication appuyant une opposition existant à un autre niveau de pouvoir et démontre une fois de plus qu’il n’est pas tenu compte à OLLN, des demandes légitimes de l’opposition. Ce comportement est susceptible d’un recours auprès de la tutelle. Nous aviserons.

La mauvaise pièce jouée à OLLN éloignera probablement encore un peu plus les citoyens de la politique et la campagne électorale sera très difficile pour notre groupe et pour les éventuelles nouvelles listes car non seulement nous devrons convaincre d’oser la différence avec nous mais aussi et surtout nous devrons pousser les citoyens à ne pas s’abstenir mais bien au contraire à utiliser leur vote.

Pour la liste OLLN2.0,

B. KAISIN,

Conseillère communale et cheffe de file

Ce mardi 20 février est fixé notre conseil communal à OLLN.

Pour chaque conseil communal des règles sont inscrites dans le règlement d’ordre intérieur du conseil communal afin de permettre à celui-ci de travailler dans les meilleures conditions possibles :

–          L’ordre du jour est fixé par le Collège ;
–          L’ordre du jour est envoyé à chaque conseiller le lundi de la semaine précédant le conseil communal ;
–          Dès le mardi qui suit, les dossiers instruits par le Collège, doivent être disponibles à la consultation des conseillers communaux et,
–          En fonction de cet ordre du jour, des commissions « techniques » (dites des affaires générales, des finances et des travaux) sont organisées pour les conseillers, entre le mercredi et le vendredi de la semaine précédant le conseil communal, pour passer en revue avec le Collège les points soumis à l’ordre du jour.

L’ordre du jour de ce 20 février est relativement maigre, à l’exception d’un point très sensible suscitant beaucoup d’émotions dans la population ; à savoir le point 25 introduit par le PS qui demande au Conseil Communal de voter une motion CONTRE le projet de loi  encadrant les visites domiciliaires (encore en discussion au Parlement fédéral).

Si notre groupe politique est ouvert à la discussion même sur des sujets qui opposent, nous aurions légitimement voulu pouvoir consulter le dossier, comprendre l’analyse faite par le Collège avant d’ajouter cette demande de motion à l’ordre du jour. Or de dossier il n’y a pas ; seul le texte de la motion qui est un simple copié-collé de celle déposée dans d’autres conseils communaux par ECOLO est à la disposition des conseillers. Sans pouvoir consulter le projet de loi décrié et les autres documents référencés dans la motion, il est clair qu’il est impossible pour tout un chacun (conseillers de la majorité et de l’opposition) de prendre une position réfléchie, au-delà de toute émotion.

Ce jeudi 15 février, en commission des affaires générales, nous nous en sommes plaints auprès de l’échevin responsable (PS).

Nous entendons et lisons beaucoup de choses à propos de ce projet de loi et même si la liberté de penser est un droit absolu, il est de la responsabilité de chacun des élus amené à prendre position, de savoir de quoi il parle. Aussi, nous avons demandé en commission des affaires générales qui, au sein du Collège, avait pris connaissance du projet de loi et documents annexes ; les échevins présents ont avoué qu’aucun d’entre eux ne l’avait lu !

Nous avons alors demandé le report du point au prochain conseil communal, le texte de loi n’étant pas prêt à être voté. Cette demande a purement et simplement été balayée d’un revers de main, proposant seulement de « trouver » le texte du projet de loi et de le mettre à disposition des conseillers in extremis et hors délai (cfr règlement d’ordre intérieur).

La réalité est que la majorité locale (ECOLO/CDH/PS) détourne, une fois de plus, la démocratie locale pour appuyer une opposition parfois défaillante à un autre niveau de pouvoir : le fédéral.

Si les enjeux de ce projet de loi peuvent, le cas échéant et selon certains, justifier que des élus locaux se prononcent sur pareil projet de loi, alors il fallait déposer un dossier complet incluant toutes les pièces y relatives, y compris le projet de loi et son analyse par nos élus et l’arrêt positif rendu par le Conseil d’Etat sur ce projet de loi relevant que les balises légales ont bien été respectées. Ce n’est malheureusement pas le cas….

Une fois de plus, nous constatons que la majorité d’OLLN snobe le conseil communal et ses conseillers communaux les privant des moyens nécessaires à un débat constructif. Nous le regrettons car les enjeux de notre société sont tels que nous aurions aimé pouvoir débattre de ce dossier important avec tous, en connaissance de cause, ce qui n’a pas été le cas.

Nous ne pouvons plus accepter pareil jeu politique… ou de communication et nous tenons à le dénoncer !

Pour le groupe OLLN 2.0

Bénédicte Kaisin
Conseillère communale – Cheffe de groupe OLLN 2.0

Dans la DH du 12 février 2018, à la question « Quid de gouverner avec le deuxième plus
grand parti de la commune, le MR ? » 1 , Julie Chantry a répondu : « Ont-ils analysé leur
attitude au conseil communal envers la majorité ? ont-ils analysé cette attitude destructrice
qu’ils adoptent depuis des années ? comment vouloir encore gouverner avec le MR ?».

Ces propos sont tout particulièrement choquants, déloyaux et malhonnêtes et ne servent
que de prétexte pour justifier un accord pré-électoral avec les deux partis les moins
plébiscités par les électeurs alors qu’un élu Ecolo ottintois nous confiait la vraie raison de
l’exclusive à l’égard du MR : « on est désolés mais notre seul objectif est de garder le mayorat
à tout prix, nous n’avons d’autres choix que d’être le premier parti de la majorité! ». Et il est
vrai que d’après le décret wallon, en s’alliant avec un parti plus important qu’eux, ils perdent
automatiquement le mayorat. Mais comme par hasard, ce genre de considérations
purement politiciennes, Madame Chantry n’en fera pas état à la presse.

Par contre, ça ne la gêne pas de critiquer notre attitude en Conseil communal. Parlons-en
justement ! Le groupe OLLN 2.0 vote favorablement plus de 90 % des points mis à l’ordre du
jour par le collège communal… de son côté, quand nous mettons un point à l’ordre du jour,
la majorité nous suit dans 1 cas… sur 100 ! Quant aux points qui ne font pas l’unanimité dans
nos rangs, nous les débattons, et nous pensons que c’est aussi le rôle de l’opposition. Et
parfois, au terme du débat, nous votons contre, pour ou en nous abstenant. Souvent le vote
est libre dans nos rangs (ce qui n’arrive jamais ou quasiment jamais dans les rangs de la
majorité). Nous ne nous opposons jamais pour nous opposer, nous développons toujours
une argumentation forte, souvent nuancée… Parfois, nous sentons même que nous
convainquons certains membres du collège ou de la majorité mais, au moment du vote, la
majorité préfère toujours ignorer ces arguments et passer en force, souvent en ayant même
pas répondu aux interventions argumentées de nos conseillers !

Que Madame Chantry se rassure, nous sommes capables d’analyser notre attitude en
conseil communal, nous ! L’opposition constitue le contre-pouvoir garant de notre
démocratie, et une opposition constructive se doit de soutenir les « bons » projets du
collège mais aussi de dénoncer les dérapages de la majorité et, le cas échéant, de formuler
des propositions concrètes au conseil, ce que nous nous sommes toujours efforcés de faire.
La réalité, c’est que les Ecolos sont au pouvoir sans discontinuer depuis 1989 (et ont le
mayorat depuis 2000) en n’ayant jamais été le parti remportant le plus de suffrages aux
élections, ils sont largement majoritaires au sein du collège et ne supportent plus la moindre
1 On notera au passage que le MR constitue bien le 1 er parti de la commune et non le « 2 ème plus grands parti »
comme mentionné erronément dans l’article.

contradiction, même émanant de l’opposition dont c’est pourtant le rôle indispensable à
l’état démocratique ! Un Ecolo nous confiait même que son rêve serait que nous
gouvernions tous ensemble, sans opposition ! Bonjour… ou plutôt, au revoir la démocratie !

Nous comprenons Madame Chantry, la politique sans opposition, ça serait tellement plus
facile, la politique sans élection, ça serait encore tellement plus facile… mais avec son accord
pré-électoral et son exclusive, on n’en est pas bien loin !
Madame Chantry vient de donner le ton de la campagne, nous en avons pris bonne note !

Nicolas Van der Maren
Conseiller communal OLLN 2.0

Dans la DH du 12 février 2018, à la question « Quid de gouverner avec le deuxième plus
grand parti de la commune, le MR ? » 1 , Julie Chantry a répondu : « Ont-ils analysé leur
attitude au conseil communal envers la majorité ? ont-ils analysé cette attitude destructrice
qu’ils adoptent depuis des années ? comment vouloir encore gouverner avec le MR ?».

Ces propos sont tout particulièrement choquants, déloyaux et malhonnêtes (suite…)

Le groupe OLLN2.0 a pris connaissance avec étonnement de la sortie de Cédric du Monceau, échevin cdH de l’urbanisme et du commerce à Ottignies-LLN, concernant le réaménagement en centre d’entreprises de l’ancien site Philips à Wavre.

Un impact sur les commerçants d’Ottignies ?
Où est passée l’attention pour nos commerçants de notre Premier Echevin, il y (suite…)

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